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Beast In The Field, d'entrée on est prévenu. Il ne faut
pas déconner, "il" est là, et comme une prémonition
"World Ending" débarque. Né en 2007, avec depuis
un album par an, les ricains du Michigan ne font pas dans la dentelle.
D'ailleurs je vais me dépêcher de vous faire la chronique
car le prochain ne va pas tarder.
Alors Beast In The Field est dans le registre doom/sludge instrumental,
gros son et longue souffrance comme on aime dans le style. Préparez
cos cornes ont apprécie cela aussi dans le Michigan, car c'est
un peu des descendants de Vénom.
Je n'ai pas écouter les précédents albums du duo,
oui ils sont deux les loustiques, c'est dingue ça !, faire autant
de bruit à deux tout de même, donc je ne peux pas vous
dire si c'est mieux ou moins bien, mais je peux vous dire que celui
là fait bien mal. Les amateurs de grosse prod bien clean, passez
votre chemin, en même temps dans le doom, c'est rare… "
World Ending " est donc dans la frange musique d'ambiance apocalyptique,
où dans la fameuse " baisse le volume, j'entends plus rien
", bref c'est du gros son pendant longtemps que même ta grand
mère va pouvoir kiffer (pour une fois qu'elle entend un truc).
Son saturé se mélangeant avec violence (genre tu croises
les effluves), solos 70 façon stoner fou, Beast In The Field
a encore engendré un monstre, quel bonheur.
J'aime découvrir des ovnis, ou des monstres c'est toujours plus
sympa que des princesses et des fleurs, donc signez-vous au fer rouge
et rejoignez nous dans les champs on va faire une orgie, monte le volume
Charlie ça va saigner, " il " est de retour !!
Kronik
O.S.
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