Silverstein
(When Broken is easily fixed) |
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Ahrggggggggg
!!! Voici le premier mot qui me vient à l'esprit à l'écoute
de Silverstein, l'une des nouvelles signatures de Victory Records. Du
bon, c'est d'entrée du bon que l'on ressent. En trois secondes,
on reconnaît le style, un émorock-hardcore aux accents punk-rock,
très fin. Les ambiances sont posées et je suis de suite pris par ces mélodies pleines d'émotion et de clarté à la fois. Venant du Canada, Silverstein délivre un album remarquable, dix titres en quarante minutes, aux intonations parfois hardcore-émo proches des premiers Boy Sets Fire, parfois émo-punk comme savais jusqu'à présent le faire qu'Hundred Reasons, on ressent aussi l'influence de Grade, origines obligent. Le son ce veut résolument émo-punk, rock à souhait, léger, ça sent le bon ampli d'autrefois et la Gibson Custom. Le chant de Shane avec d'énormes variantes fait penser à du Rise Against, mélo et brutal à la fois, mais les phrasés voix se veulent plus complexe, émo oblige. Le plein d'énergie, voilà ce qui définit le mieux cet album, car le mélange est détonnant, contrairement au style maladif de l'émo en général, Silverstein ne tombe pas dans le cliché mélancolique. Certes il y a beaucoup d'émotions, mais c'est une musique plutôt heureuse et mélodique. Que dire de plus à part peut-être que j'ai pris fortement mon pied à l'écoute de ce cd, et que dans ce style c'est pas du tout évident compte tenu des innombrables productions qui fleurissent à tout les coins de rue. Spécial clin d'il pour certains riffs qui en tendant bien l'oreille vous rappellerons des montées digne d'Iron Maiden ou Helloween, enfin de la vague heavy de cette époque. En bref un petit bijoux à ce procuré rapidement Kronik O.S. |
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Silverstein
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