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L'année
dernière à cette époque, notre ami Phil Anselmo
faisait parti d'une dizaine de groupe (dont Pantera !), et il a tout
envoyé balader afin de consacrer à temps plein sur Superjoint
Ritual.
Après l'énorme pavé " Use once and destroy
", sorti l'année dernière, Superjoint remet le couvert
avec " A Lethal Dose Of American Hatred ",
un album qui comme son prédécesseur, sent la sueur, la
bière, le cannabis, l'intérieur d'une vieille maison de
la Nouvelle-Orléans…
On sait Anselmo bien décidé à sauver le métal,
je sais pas si il la sauvé mais ça envoi du bois, grave
!!!
Anselmo, fidèle à lui même et à ses origines,
n'avait jamais prit part à un album aussi violent, d'une brutalité
que l'on peut qualifier de primaire, avec des hurlements rarement vu,
même dans Pantera (c'est dire !!!). Du hardcore, quelque peut
répétitif (trop ?) à faire pâlir Hatebreed
et autres Biohazard, jusqu'à une baisse d'intensité vers
la fin de l'album, que certains regretteront, quand d'autres regretterons
que cette " accalmie sonore " vienne aussi tardivement. Ce
" A Lethal Dose Of American Hatred " vaut tout de même
le détour, chacun y trouvera ce qui lui plaît. Personnellement
la seule chose que j'espère, est que Superjoint Ritual ne mettra
pas autant de temps que Pantera pour venir nous voir.
Kronik
Manu
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