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Voici un nouveau venu dans la ribambelle des groupes estampillés
Epitaph : Vanna.
Si vous ne les connaissez pas, c’est normal, c’est leur premier
album (ou 6 titres devrais-je dire). Il s’intitule « The
Search Party Never Came ». Si il y a quelques année
Epitaph était un label dédié au punk-rock, désormais
ce n’est plus le cas, pour ceux qui en douteraient encore voici
donc Vanna.
Ce jeune groupe de la nouvelle Angleterre ce veut « post-hardcore »,
le terme qui ne signifie rien, en bref ils ont le look, la méche,
sont les décendants du noise, c’est ?, c’est ?...
(comme dirait J.Leperse)... Du scream, émocore, screamo
En l’occurance on a ici a faire à du screamo, une musique
violente, ultra brute, avec un son de « merde »
comme on dit, même les plus obscures groupes de noise n’avaient
pas un crunch de se niveau et ça, même en 86. Bref, passé
le son des guitares et de la batterie, (ou le pas de son, suivant comme
on l’interprête), Vanna dévoile donc un chant tonitruant
volontairement destructuré façon déjanté
du moment, sur des compositions du même niveau, un joyeux foutoir
dans lequel, il n’est pas évident de rentrer. Pour ma part
je suis resté dehors d’ailleurs.
Pour Apprécier Vanna, soit il faut être fan ultime de la
déjante, soit être sérieusement atteint de skyzophrénie.
Enfin Vanna est donc a conseiller aux fans de Jane Doe, The Dillinger…etc,
tous ceux qui aiment bien se prendre les neurones avec de la musique...
Kronik O.S.
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