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AS
I LAY DYING : la découverte
Je n'avais jamais posé l'oreille sur ce groupe, plutot
n'avais jamais eu l'occas. Je m'attendais à quelque chose
de pas original. Ce fut le cas, mais j'ai la preuve qu'un groupe
peut faire une musique pas des plus originale mais rudement efficace.
Ce fut aussi un des seuls qui su tenir la grande scène
du début à la fin. 40 minutes d'un set compacte
et mélodique qui fut parfait pour décrasser les
oreilles en début de samedi.
MADBALL
:
la claque
Les
Maîtres du NYHC ont mis la barre à un niveau si
élevé qu'il en est devenu inateignable pour les
2 groupes qui les suivaient. Un Freddy courant d'un bout de
la scène à l'autre, un basse-batterie ravageur
et une précision chirurgicale à la 6 cordes. Du
hardcore, du groove, du partage, de la sueur...
Du bonheur.
Benny
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SOULFLY : claque
J'ai vu Max et sa bande deux fois cette année, et il
n'y a pas à dire, les morceaux de « Dark Ages »
sont énormes en live, il y a vraiment la puissance d'antant
dans ces riffs là !!!!
Soulfly et Max c'est vraiment du métal, un concert comme
celui du Hellfest, remet les choses en place, un déluges
de gros riffs, le métal c'est ça, Max est le monsieur
du Métal.
MOTÖRHEAD : claque
A trois comment arrivent-ils à avoir autant de puissance,
phénoménal, Lemmy c'est le père du rock
et j'avais une question pour Lemmy : « Do you think
that Motörhead could be more louder?? et bien il
m'a donner ça réponse sur scène : OUI !!!!
Motörhead c'est trop énormmmme !!!
RAISED FIST : claque
Un concert d'une puissance surprenante pour un groupe de hardcore,
une énergie folle, comme à son habitude, Raised
Fist a fait une bien belle prestation, avec eux on est jamais
déçu. Le nouvel album est certes différent
et a déstabilisé certains fans, mais en live,
ces morceaux font toujours aussi mal, Raised Fist reste Raised
Fist , une bonne grosse claque.
IGNITE : claque
L'un des groupes du moment, une voix, des morceaux de dingue,
un album de fou « Our Darkest Days »,
peut-être l'un des meilleurs albums de l'année,
Zoli tient sa voix à merveille, un pur chanteur, qui
en plus à des choses à dire. Nous avons la chance
en tant que média de rencontrer certaines personnes,
Zoli en a fait partie, et il est derrière comme sur la
scène aussi proche, c'est souvent le cas avec les groupes
de hardcore, ils se prennent pas la tête, et ils ont un
vrai discours, et donnent tout sur scène.
MADBALL : claque
Pour sûr MA CLAQUE de cette année, j'avoue,
je suis fan, et bien ce concert est sûrement l'un des
meilleurs de l'année, une prestation énorme, un
son énorme. Freddy a prit un charisme impressionnant
sur scène, avec comme toujours un respect et une ouverture
d'esprit dans ses textes et son échange avec le public.
Plutôt habitué des petites scènes, en deux
ans, et en ayant parcouru le monde avec l'album « Legacy »
ils ont pris une ampleur et savent désormais jouer sur
tous types de scènes, comme il nous l'a dit lors de notre
interview. Et bien les Madball ont fais une prestation d'anthologie,
et pour dire ça, c'est que j'en ai vu des concerts de
Madball. Je penses que beaucoup de gens ont découvert
Madball au Hellfest et ont aussi découvert ce que veux
dire « Hardcore » et l'esprit New Yorkais.
Peut-être qu'en France on va enfin comprendre la vérité
sur le hardcore, et comprend que le hardcore c'est le respect...
LEEWAY : découverte
un groupe dont tous les hardcoreux d'une certaine génération
parlent, un groupe athypique par son chant. Un chanteur qui
donne tout, sautant de partout, une prestation scènique
qui ne peut pas laisser indifférent, un bon hardcore
old school. Cette reformation vient du coeur, Eddie Sutton,
le chanteur nous en a longuement parlé, un témoignage
plus qu'une interview, si il y a une rencontre dont on se souviendra
longtemps dans celles que nous avons eu au Hellfest cette année,
c'est Leeway et Eddie.
GBH : découverte
Enfin !!! Je les ai vu !!!
Et oui ça faisait un moment que je voulais voir les GBH,
l'autre formation leader du punk, et bien voilà c'est
fait, une bien belle prestation pour ces anciens de la scène,
ça fait chaud au coeurs de voir qu'ils sont toujours
là et qu'ils le font savoir de bien belle façon.
O.S.
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Première précision, je débarque sur le site
du Hellfest avec une connaissance des groupes à passer
quasiment nulle hormis quelques têtes d'affiches bien entendu,
donc autant dire que les découvertes seront nombreuses.
Pour la liste des claques, je vais dire Danko Jones, Boysetsfire,
Soulfly pour nen choisir que trois.
SOULFLY, groupe que j ai écouté
durant pas mal de temps et que j ai délaissé au
fur et à mesure mais de voir Cavalerra et les autres en
live ma redonné lenvie de réécouter
cette musique. Une heure de musique avec le sourire de Cavalerra,
une intensité et une énorme prestance sur scène
ma vraiment réconcilié avec ce style de musique.
Ensuite, DANKO JONES entre
en scène un il bandé, lui donnant un air de
pirate de la planète rocknroll! Prestance scénique
démesurée flirtant avec la démago, une hargne
pour haranguer la foule et un rock endiablé lui donnent
le titre de roi du garage rock ! Ce cher Danko se permettra
même le luxe daccompagner Motörhead le temps
dune chanson.
BOYSETSFIRE, jamais vu auparavant
et quelques appréhensions quant au choix de leur set aux
vues de leurs derniers albums. Au final un set puissant qui se
fond très bien dans le festival, une énergie immense
dans le jeu de scène mais un temps de jeu écourté
à cause des retards.
Au
tour des découvertes, pour la plupart des « petits
groupes », Sna-fu, Cortez, Amen Ra.
Sna-Fu pour son style à
la Refused et pour lénergie dégagée,
Cortez pour son coté
minimaliste (guitare, batterie, voix) et Amen
Ra pour un jeu de scène prenant à la
limite de nous mettre mal à l aise et sa musique proche
de groupe comme Envy par exemple. Mention spéciale à
Mad Sin pour son psycho punk !!
Au
final, le Hellfest 06 fut une très bonne expérience,
un moment partagé avec des gens supers mais si prochaine
édition il y a, peut-être qu'une ouverture plus
grande aux autres branches de la musique extrême serait
intéressante !
Benji
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MADBALL :
claque
Contrairement
à dautres chez Hammerock, je ne fais pas parti des
fans inconditionnels des ces vétérans du N.Y.H.C.
Pourtant jai été amené à les
voir à plusieurs reprises et ce fut chaque fois un réel
plaisir. Un concert de Madball cest lassurance de
passer un bon moment, encore une fois, le groupe na pas
failli à sa réputation de rouleau compresseur et
a su tenir cette immense scène de fort belle manière.
RAISED
FIST : claque
Jai
découvert les Suédois il ny a finalement
pas très longtemps, mais depuis que jy ai jeté
une oreille, je ne men passe plus. Jattendais donc
ce concert du Hellfest avec une impatience énorme. Une
bonne performance, énergique, intense, des compos imparables
et en guise de conclusion le magnifique « Breaking
Me Up » histoire de finir de nous convaincre que
Raised Fist est un putain de groupe !
IGNITE :
découverte
Je
crois avoir assisté à la fin dun de leur
concert il y a quelques années en Suisse mais rien ne
mavais particulièrement marqué. Javais
donc brièvement entendu parlé dIgnite. Sur
les conseils de mes camarades jai donc pointé le
bout de mon... nez à leur concert et je dois dire que
je me suis prie une tarte monumentale. Zoli, chanteur de son
état, est absolument impressionnant de perfection à
linstar des autres membres du groupe... Depuis, leur dernier
opus « Our Darkest Days » tourne en boucle
chez moi. Un très grand cru de cette année 2006.
GOJIRA :
claque
Il
métait impossible de rater ce show de Gojira. Peut-être
ne suis-je pas des plus objectifs lorsquil sagit
de parler des landais, mais encore une fois ils ont su conquérir
le public avec un set plutôt brutal et sans répits.
Le public leur rend bien et sétait même limite
émouvant de voir un accueil si chaleureux, jen
ai encore la chair de poule rien que dy penser.
LEEWAY :
découverte
Jai
découvert Leeway il y a très peu de temps. Rigolo
quand on sait que se groupe existe depuis 1984. Javais
donc lintention de faire ma séance de rattrapage
au Hellfest. Le groupe délivre un set énergique
et on retiendra surtout la performance limite déjantée
de son chanteur, Eddie Sutton, qui monte sur les HP de côté
de scène, se vautre sur le sol à force de courir
comme un malade dans tous les sens. Je me suis dit que ce mec
là était vraiment « perché »,
la rencontre qui sen est suivi ma vite démontrée
le contraire, et restera mon souvenir dinterview le plus
marquant à ce jour.
Manu
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Des rythmes syncopés à la Meshuggah, un son énorme,
une alternance chant clair/chant hurlé maîtrisée
avec une facilité déconcertante
Il ne men
fallait pas plus pour tomber sous le charme des Hollandais de
Textures. Leur set ma
fait forte impression et leur demi-heure de jeu ma paru
bien trop courte.
A revoir très vite en tête daffiche !!!
Nulle trace de sacrifice de bouc sur la Main Stage pendant la
prestation de Satyricon (certaines
mauvaises langues ont dû être déçues
),
juste un très bon groupe mené de main de maître
par le charismatique Satyr. Ils délivrent un Black Métal
différent de ce que jai lhabitude découter
ce qui nest pas pour me déplaire. Dailleurs,
signe qui ne trompe pas, leur dernier album « Now, Diabolical
» tourne en boucle chez moi depuis le Hellfest.
Tout comme ses compatriotes de Kruger lan dernier au Fury
Fest, Cortez ma charmé
avec son post hardcore. Les morceaux, très bien ficelés,
créent en une petite demi-heure une ambiance prenante qui
ne séteindra quavec les dernières notes
lâchées par le trio suisse. Un régal.
Estelle
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